UN TEXTE À CORRIGER ?

Pourquoi faire appel à nous ?

Correcteurs en Bretagne rassemble des correcteurs professionnels, formés au métier et forts d’une expérience significative en ce domaine. Basés en Bretagne, les membres de l’association, le plus souvent travailleurs à domicile, proposent leurs compétences à tout donneur d’ouvrage publiant en français − et même au-delà des frontières de la francophonie pour les correcteurs polyglottes…

Solliciter Correcteurs en Bretagne pour la révision d’un texte garantit au donneur d’ouvrage un travail dans les règles de l’art, et au correcteur une reconnaissance de la valeur et du statut de son métier.

Différentes prestations de relecture

La correction d’un ouvrage comporte différentes étapes. Le tarif facturé par le correcteur au donneur d’ouvrage est fonction du nombre de signes du texte (caractères + espaces) et du niveau de relecture nécessaire :

  • Préparation de copie

Il s’agit du travail sur le texte brut : vérification des informations sur le fond, de la cohérence du texte ; propositions de réécriture ; vérification des légendes, de l’index, du sommaire ; grammaire, orthographe et typographie ; établissement d’une marche typographique…

  • Correction en première

Première lecture de la copie préparée : relecture orthotypographique ; signalement des erreurs de mise en page (harmonisation selon la marche typographique définie)…

  • Correction en seconde

Seconde lecture des épreuves, en général pour supprimer les dernières coquilles ou pour vérifier, en cas de corrections conséquentes en première, leur bonne prise en compte.

Pour des corrections spécifiques (courriers, documents de communication, sites internet…), le correcteur adapte ses tarifs au temps passé à la correction.

Sur papier ou sous format numérique ?

Les corrections sur papier se font dans la marge, en utilisant les signes conventionnels du code de correction.

Elles peuvent aussi se faire directement dans le fichier texte, avec un suivi de modifications qui rend les corrections apparentes. Des commentaires peuvent être ajoutés dans la marge.

Sur papier ou sous format informatique, l’auteur a la dernière main sur le texte et les corrections à intégrer.

Nombre de signes par heure, pourquoi ?

Le type de relecture effectué conditionne le nombre d’heures passées par le correcteur à sa tâche.

  • Préparation de copie : 8 000 à 10 000 signes/heure ; ou « en conscience », c’est-à-dire selon le nombre d’heures passées.
  • Correction en première : 12 000 signes/heure. (Elle peut être considérée comme une préparation de copie si le travail n’a pas été fait en amont.)
  • Correction en seconde : 15 000 signes/heure.

Ce barème découle de l’accord passé entre le Syndicat national de l’édition et les syndicats de salariés. Le nombre de signes horaire peut être ajusté à la baisse en fonction des corrections à effectuer (par exemple, réécriture ou recherches supplémentaires nécessaires), le correcteur prévenant de toute façon le donneur d’ouvrage en amont si le travail à effectuer se révèle plus lourd que prévu.

Comment compter le nombre de signes d’un texte ?

Le correcteur évalue son travail selon la qualité de la correction (préparation de copie, correction en première, en seconde) et la quantité de signes, espaces comprises*.

Les traitements de texte incluent un outil statistique permettant de compter le nombre de signes d’un document. Sous Word comme sous LibreOffice, il est possible de cliquer sur le champ « mots », à gauche dans la barre d’outils inférieure. Une fenêtre s’affiche, spécifiant le nombre de signes (« caractères incluant les espaces ») du document.

* Eh oui ! L’espace est du genre féminin en typographie.